Revue de presse

RTBF- La Première - Et dieu dans tout ça ?
RH Tribune
Le Soir (Eco-Soir)
Le Soir
VLAN
La Lettre de CULTURE et DEMOCRATIE
Entreprendre
Le Vif / L'Express
LA LIBRE
La Revue Générale
Vers l'avenir
GUEST (n° 9)
Trends-Tendances
L'ESSENTIEL
LEMATIN.ma
Institut Sépharade Européen (site web)
La Libre Belgique
La Libre (La Libre entreprise)
AXELLE (Edité par Vie Féminine)
Le Phare (Quotidien indépendant, Kinshasa)
De Morgen
Bulletin de l'Union des artistes du spectacle
Le Soir (suppl. Victoire)
www.ALTERECHOS.be
ARTE (Belgique) et RTBF (La Une)
LE JOURNAL DU MARDI
The Brussels Magazine
Le Ligueur
METRO
La DH
<b>TELE-BRUXELLES</b>
L'Echo
LA TRIBUNE DE BRUXELLES
Femmes d'aujourd'hui
Messaggero
Mutations (Yaoundé, Cameroun)

LA TRIBUNE DE BRUXELLES
Ingrid d’Oultremont

LA TRIBUNE DE BRUXELLES
De l’Oued au plat Pays, quels souvenirs !

Dans ce roman attachant comme tout, Mina libère beaucoup de ‘non-dits’ sur un ton d’autodérision n’interdisant ni les mots de colère, ni la tendresse. A travers la vie des deux héroïnes Aïcha et Mimi, l’auteur a choisi la voie de la fiction réaliste pour raconter la problématique de l’immigration, la vie des familles, le tiraillement entre les cultures marocaine et européenne, l’émancipation des filles, la résilience.

Loin de tout traité ou livre de revendications sociales, “Ti t’appelles Aïcha, pas Jouzifine” est un beau récit plein de vie que n’a pas hésité à préfacer l’artiste Sam Touzani.

Mina Oualdlhadj n’est pas écrivain, elle vit à Bruxelles, est maman de trois enfants et met ses compétences de gestionnaires des ressources humaines au service de crèches communales. Les éditions Clepsydre permettent à chacun d’éditer à compte d’auteur leurs mémoires ou même un roman. Lorsque Mina Oualdlhadj est venue leur parler d’un projet d’écriture qui lui tenait à cœur, les éditeurs y ont tellement cru que “Ti t’appelles Aïcha, pas Jouzifine” a été édité par leurs soins ! (08-05-2008)